Après tout ce qui s’est passé en Tunisie et les chamboulements politiques parfaitement inattendus, il est pertinent qu’il y ait des répercussions sur le Tunisien en tant que simple consommateur. La peur de l’avenir, la crise de confiance et la vigilance ont rendu le Tunisien encore plus méfiant par rapport à tout ce qui l’entoure. Une méfiance qui est fort visible et sentie dans chaque manifestation et chaque intervention dans n’importe quel groupement d’individus. A la maison, dans les rues, au boulot ou sur les réseaux sociaux, la politique est le sujet d’actualité par excellence. Et le marketing dans tout ça ?
]]>L’augmentation du taux d’audience demeure la principale caractéristique du mois de Ramadan. Une caractéristique qui ne cesse d’attirer les annonceurs qui en profitent à tort et à travers au détriment des préférences du consommateur voire même de la marque. Serait-il bénéfique pour la marque et les médias d’exposer le consommateur à une infinité de spots publicitaires ? Les objectifs communicationnels fixés sont-ils atteints ? Les annonceurs ont-ils vraiment réussi à attirer l’attention des Tunisiens ? Les médias tirent-ils réellement avantage de ce matraquage publicitaire ?
]]>Depuis l’émergence des NTIC, l’attention s’est dirigée vers Internet en tant qu’outil d’information, communication et de distribution simple et pas cher par rapport aux autres moyens. L’information étant partagée en tant réel, l’interaction à son summum et le contenu assez flexible, les journaux et la presse en général commencent à subir les conséquences des nouvelles sources informationnelles du tunisien. Certains sont même allés à se poser des questions par rapport à la crédibilité des journaux tunisiens s’inspirant, en grande partie, des web journaux et des blogs. C’est ainsi que l’idée des alliances entre les journaux et les sites Web avait émergé. La plus récente étant celle de Ballouchi.com et les journaux le Temps et Essabah.
]]>Comme vous l’avez tous remarqué, après la privatisation du Magasin Général, de majeurs changements y ont été apportés, tout semble refléter une nouvelle vision, de nouveaux objectifs et un nouvel esprit. Samedi dernier, Mr. Tahar Bayahi, président du groupe Magasin Général, est venu échanger avec les chercheurs à l’ISG de Tunis, parler un peu de son cursus, de son expérience avec Magasin Général, du début difficile face à la résistance du personnel et de sa volonté à le « moderniser ». Serait-il possible ? Qu’en pense le tunisien ?
On assiste ces derniers temps à une campagne promotionnelle du vêtement traditionnel tunisien entamée par l'Office national de l'artisanat (ONA). L’année dernière, c’était plutôt le tunisien résidant à l’étranger qu’on essayait de cibler. Cette année, on a commencé à cibler le consommateur tunisien, notamment les jeunes, et cela en déployant plus de moyens communicationnels et en recourant aux média de masse tels que la télévision et la radio. Une campagne très traditionnelle, peu originale et qui ne pourrait point attirer les jeunes.